Mme Colette Choisez agent immobilier

Avant propos.

Nous nous efforçons à toujours publier que la stricte vérité, nos écrits ont été au préalable vérifiés, recoupés et pour ce qui concerne les récits, les lettres, etc. ils ont été autentifiés par le même procédé auprès de leurs auteurs.

Nous vous invitons à nous contacter via les commentaires pour nous relater vos rencontres de tout ordre avec Mme Colette Choisez, qui après vérification se vera mis en avant et publié dans ce blog.

Nous vous incitons également à faire de même, raconter votre/vos rencontres avec Mme Colette Choisez, par mail auprès de son mari Mr Michel Steuve.

N'hésitez pas à lui écrire à: michel.steuve@hotmail.com

Lettre 1.

Bonjour,

J'ai connu la belle Mme Colette Choisez dans le cadre de son activité professionnelle du temps où elle travaillait comme chargée de clientèle à la gestion immobilière tournaisienne à Tournai en Belgique.

A l'époque, je devais accompagner des amis qui cherchaient une maison à acheter.

On avait donc fait un peu le tour des agences immobilière de la région et leur choix s'étaient arrêté sur deux maisons de style villa cossue avec garage et grand jardin, située à l'extérieur de la ville dans des quartiers résidentiel assez hupés.

Par un heureux hasard, ces deux propriétés étaient toutes deux en vente dans la même agence.

La gestion immobilière tournaisienne rue des jardins à 7500 Tournai Belgique.

Nous furent acceuilli tout d'abord par la patronne de l'agence qui voyant notre intérêt nous présenta son assistante avec laquelle nous irions faire les visites et nous présenta donc Mme Choisez.

Mme Choisez était une très jolie brune, très avenante et très professionnelle.

Je savais qu'elle était mariée à un petit entrepreneur en bâtiment de la région, patron de la société M & R Steuve sprl avec qui elle vivait en couple avec leur jeune garçon à Kain, village jouxtant la ville.

Je savais depuis longtemps que Mme Choisez était connue en ville pour être très coquine et que dans le cadre de son activité professionnelle elle aimait prendre du plasir et en donner à ses clients.

J'avais également appris par des témoignages et autres bouches à oreilles de clients indélicats mais digne de parole que Mme Choisez en plus d'être libertine à la ville l'était également dans son travail, sachant mettre en valeur tous les atouts nécessaires au bon déroulement d'une vente, que ce soit ceux du bien visité que les siens propre, n'hésitant pas à l'occasion à donner de sa personne le cas échéant pour faire fléchir les éventuelles réticences que pouvaient encore avoir certains clients.

D'ailleurs, déjà dans l'agence et en présence de sa patronne, sans jamais être aguicheuse et encore moins vulgaire, de simples regards, des sourires, des postures, tout en elle transpirait d'une sensualité débordante qu'elle venait accentuer avec de faux airs de sainte nitouche ou de timidité génée.

Nous avons donc pris rendez-vous avec elle pour une première visite.

Le jour dit, Mme Choisez nous attendait devant la propriété, un petit tailleur stric mais sexy à la jupe courte, ses longs cheuveux brun noué en un petit chignon serré et relevé lui dégageant la nuque, des bas et haut talons, des dossiers serrés contre sa poitrine et son chmisier blanc immaculé légèrement déboutonné. Le tout très chic, très classe et de marque.

On lui emboita le pas pour commencer la visite et on ne put tous se retenir de lui matter son magnifique arrière train qui se balançait lentement à chacun de ses pas.

Après être tous entré elle nous fit découvrir la demeure comme tout agent immobilier le ferait.

D'abord les pièces du bas, la buanderie, les deux garages puis un petit tour dans le jardin avant de revenir dans la villa pour visiter les étages.

Mme Choisez nous précéda pour la montée des escalier menant à l'étage tout en prenant le temps à chaque passage de marche, évoquant les qualités des boiseries et la solidité de cet escalier il fallait l'avouer magnifique.

Mais ce qu'il y avait de plus magnifique était surtout les superbes courbes de sa croupe offerte à notre regard.

Arrivée aux dernières marche, Mme Choisez stopa net, ayant laissé tomber ses dossiers par chance, sur le palier en chêne ciré.

Elle pesta en s'excusant tout en se penchant pour rassembler les papiers du dossier éparpillé sur le palier et les remettre dans leur farde.

Seulement au lieu de fléchir les genoux pour se faciliter la tâche, elle resta les jambes bien raides, légerèrement écartée en haut de l'escalier et, se penchant fortement en avant, cambra ses reins et se croupe vers nous, nous offrant une vue imprenable sur le haut de ses jambes, sa courte jupe et le v d'aisance du bas de celle-ci tendu à en craquer, faisant par là même remonter lentement le tout et découvrant peu à peu son entre cuisse et à peine sa petite culotte blanche.

On eut tous la même idée à cette vue, lui glisser nos mains entre les cuisses et les lui caresser jusqu'à sa petite culotte.

Mais Mme Choisez se redressa et avec son petit air gêné, fini de monter les dernière marche après avoir rassemblé ses papiers, tout en se tortillant pour d'une main maladroite réajuster sa jupe franchement trop remontée.

C'est là ausii qu'une fois sur le palier et face à nous, on pouvait constater que son chemisier était bien plus largement déboutonné que ne le laissait supposer la vue qu'il offrait en partie caché par les dossiers qu'elle avait tenu serrés contre elle depuis le début.

En fait son décolleté était vraiment très largement déboutonné laissant apparaitre très visiblement la dentelle de son soutien-gorge. Elle ne du pas s'en rendre compte tout de suite car après nous avoir laissé visiter les pièces de l'étage et le grenier où elle ne nous accompagna pas, après être redescendu, elle nous convia dans le grand salon où ne trônait plus qu'une très grande table en chêne massif. Elle y déposa ses dossiers et, tout en les étalant sous nos yeux pour que nous puissions les consulter, de par le fait qu'il n'y avait pas de chaise, elle s'appuya d'un bras tendu sur la table, et de son autre main, pointait du doigt les passages qu'elle jugeait important que l'on prenne connaissance.

Penchée en avant en appui sur ce bras tendu main à plat sur la lourde table, son décolleté baillait très largement lui laissant carrément offrir à notre vue sa popitrine suspendue dans ce souple soutien-gorge de dentelle fine et transparente.

Au bout d'un moment se rendant compte que nos regards étaient plus portés sur sa poitrine que sur les document, elle se regarda le décolleté et tout en rougissant et se retournant, avec le même air gêné et timide, s'excusa de nouveau et se reboutonna.

Cette visite se termina sans plus à ceci près qu'au moment de sortir, je ne pu réfreiner l'envie de venir me coller un peu à elle et pendant qu'elle saluait en leur serrant la main mes compagnons, je lui glissa furtivement la main dans le creux de ses reins comme le ferait un mari qui guide sa femme, puis la descendit sur sa croupe en la caressant subrepticement un très court instant.

Mme Choisez me souri et tout en me saluant à mon tour, nous redonna rendez-vous pour la visite de la seconde maison.